De nos jours, le contribuable peut être sujet à toutes sortes d’impôts. Il y a par exemple l’impôt de solidarité sur la fortune. Dans le but de mieux comprendre cet impôt, il est important de s’informer sur les personnes qui y sont assujetties et les différents impacts qu’il implique.
Les personnes assujetties par cet impôt
Pour être assujetti à l’impôt de solidarité sur la fortune, il faut être une personne physique. Il s’agit de tout un foyer fiscal qui est mis en cause par cet impôt. Ce sont les personnes mariées et ayant des enfants. L’ISF ne peut être requis que dans le cas où le foyer possède un patrimoine supérieur à 1 300 000 euros en début d’année.
Les informations importantes à savoir sur cette taxe
Il est important de préciser que cet impôt est déduit sur l’ensemble du foyer fiscal découvert au début de l’année. L’ISF prend donc en compte tous les biens du foyer. Dans le cas où le contribuable ne résidant pas dans le pays, seuls les biens recensés dans le pays sont imposables par cet impôt. Il existe par contre des biens qui ne rentrent pas en compte dans l’ISF. Ce sont : les biens de l’entreprise, les objets d’art, les rentes viagères et les titres PME. L’ISF est estimé à 1,25% de la valeur nette du patrimoine. Pour déclarer son impôt, il y a la déclaration de revenus 2042 qui concerne les patrimoines entre 1300000 et 2570000 euros ou la déclaration simplifiée 2725 SK ou complète 2725 K pour les patrimoines évalués à plus 2 570 000 euros. Il est à préciser que cette déclaration se doit d’être faite avant le premier semestre de l’année. Le règlement de l’impôt se fait bien sûr lors de la déposition de la déclaration de l’impôt de solidarité sur la fortune.